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LIFESTYLE || Codes et Moeurs

Hermès De Wellington
Hermès De Wellington
Lady de la moquerie et des esclandres, véritable shakespear au féminin
Messages : 82


Message() / Mar 13 Juil - 1:01
Hermès De Wellington
Les règles de la société
éviter les mauvais pas

Afin de vous emparez au mieux des uses et coutumes de la société - surtout de la haute société - vous trouverez dans cette annexe toutes les règles de bonne conduite, langagier et de comportement pour pouvoir briller dans la société. Vous trouverez aussi tout ce qui entoure la vie amoureuse, l'honneur et la réputation de vos personnages. Si jamais vous avez des questions et/ou besoin de précision, n'hésitez pas à contacter le staff.

sommaire
- Les codes de la haute
- Mariage et Divorce
- Devenir adulte au 19e siècle
- Les duels


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Hermès De Wellington
Hermès De Wellington
Lady de la moquerie et des esclandres, véritable shakespear au féminin
Messages : 82


Message() / Mar 13 Juil - 1:01
Hermès De Wellington
Les codes sociaux
comment faire bonne figure


La bonne société du XIXe siècle est régit par des codes stricts. On ne se tutoie pas et on doit saluer son interlocuteur avec le titre qui convient en le rencontrant, même si on le connaît déjà et qu'on l'appelle par son prénom dans la vie privée.

La liste ci dessous permet de savoir exactement quel titre est utilisé pour quel rang. Vous verrez que chaque titre est unique et permet de savoir exactement quel rang social occupe la personne que l'on rencontre.

Pour une jeune fille non mariée qui est l’aînée : Lady + nom
Pour une jeune fille non mariée qui n'est pas l’aînée : Miss + prénom
Pour une jeune fille non mariée mais dont l'aînée est mariée : Lady + nom
Pour un jeune homme non marié qui est l’aîné : Mr + nom
Pour un fils/fille de Duc ou de marquis : Lord/Lady + nom
Pour un fils/fille de comte, vicomte, baron : Mr ou Miss + nom
Pour un duc/duchesse : Votre grâce
Pour un marquis/marquise : Mylord, Mylady
Pour un comte/comtesse : Mylord, Mylady + nom
Pour un vicomte/vicomtesse : Lord + nom
Pour un baron/baronne : Mylord/Mylady
Pour un baronnet ou chevalier : Sir + prénom
Entre homme de la même classe sociale ou inférieure : Mr ou seulement le nom de famille
Entre deux ducs : Duc ou Mr + nom
Pour un bourgeois/bourgeois : Mr ou Mme


L'étiquette

Quand on est célibataire :
- Une jeune fille bien élevée ne fait pas le premier pas. Les demoiselles se doivent d’être modestes, passives et soumises (pas pour les rabaisser, mais parce que ce sont des qualités jugées féminines par essence, et donc admirables chez toute femme). Si un jeune homme leur plaît, elles n’ont d’autre choix que de lui envoyer des signaux discrets, car il serait très mal vu de montrer directement de l’intérêt. Ça signifie bien sûr qu’une demoiselle ne suggèrera jamais le mariage.
- On ne se touche pas de la peau à la peau, c’est bien trop intime. En général on ne se touche pas du tout, et sinon on porte le plus souvent des gants ou alors on se prend le bras, donc il y a toujours du tissus entre les deux. C’est lors des bals que cette convenance prend un peu l'eau (difficile de ne pas se toucher puisqu’on danse ensemble) et c’est pourquoi c’est l’occasion principale pour les jeunes de se rapprocher… et pour les couples de se former.
- Les jeunes gens sont bien entendu chaperonnés et n’ont à peu près aucune occasion de se retrouver seuls en tête-à-tête. Toutefois, concernant la virginité et les relations sexuelles avant le mariage, ce n’est pas aussi radical qu’on pourrait le penser.
- Les jeunes hommes et filles ne s’écrivent pas ! Jamais ! À moins d’être fiancés. Ou si ils le font, la lettre est portée en main propre et surtout pas postée.
- Des fiançailles peuvent se briser… mais à l’initiative de la demoiselle seulement. Un homme est supposé n’avoir qu’une parole et il sera considéré comme un moins que rien s’il demande sa dulcinée en mariage puis change d’avis. C'est ainsi que beaucoup de fiançailles restaient discrètes quelques temps, pour s'assurer que les deux tourtereaux ne changent pas d'avis. On comprendra et acceptera mieux que ce soit la demoiselle qui brise les fiançailles : c’est elle la plus vulnérable dans cette affaire et on considérera toujours que si elle a annulé c’est qu’elle avait de bonnes raisons.

De façon générale :

- On salue tout le monde, les hommes par un salut formel (on enlève le chapeau, on s’incline), les femmes par une légère révérence. Ou au moins un salut de la tête. Un homme se lève à l’entrée d’une dame dans la pièce, un couple de danseurs se salue au début et à la fin de chaque danse.
- On s’excuse systématiquement (« Je vous demande pardon », suivi d’un salut ou d’une révérence) lorsqu’on quitte une conversation ou une pièce. Oublier de le faire serait très impoli.
Un homme porte assistance aux dames en permanence (il leur tient la porte, ramasse pour elles leurs mouchoirs, s’assure qu’elles ont du thé, n’ont pas froid, leur tient la main pour traverser un obstacle sans tomber, etc). S’il les laisse se débrouiller seules, il est perçu comme un malotru.
- On ne parle pas aux inconnus (on est courtois avec tout le monde, mais on n’engage pas la conversation). On ne parle qu’à ceux à qui on a été proprement « introduit », c’est à dire qu’une tierce personne a servi d’intermédiaire et fait les présentations.
- On ne rit pas trop fort, on ne glousse pas, on cache éventuellement sa bouche avec sa main ou son éventail pour éviter de trop montrer ses dents. Bref : on se tient !

- Hommes ou femmes, on se couvre la tête quand on sort de chez soi.
- On ne montre pas ses chevilles quand on est une dame distinguée. On fait donc attention à ne pas trop retrousser sa jupe quand on monte en voiture, par exemple. Si on a le malheur de tomber et d’en montrer un peu trop, la réputation peut être tachée quelques temps.
- Les décolletés peuvent être très plongeant (qu’on soit célibataire ou mariée). Ce sont surtout les dames plus âgées qui en montreront de moins en moins et se couvriront plus volontiers la gorge avec un foulard de gaze ou de dentelle.
- On s’habille pour le dîner, qui est le repas le plus important de la journée. Même au quotidien, pour un repas ordinaire pris en famille, on sort un habit ou une robe du soir, plus chics que ce qu’on a porté dans la journée.

- A table le maître et la maîtresse de maison s’assoient chacun à une extrémité de la table, avec leurs enfants ou leurs invités au milieu. Lors d’un dîner mondain, le maître de maison aura à sa droite la dame avec le plus haut rang, la maîtresse aura l’homme le plus important. Au quotidien, c’est l’aîné(e) des enfants qui est à droite (et si l’un des parents est veuf, l’aîné des enfants comblera le rôle de maître ou maîtresse vacant).
-On s'installe dans l'ordre. Lors d’un dîner mondain, quand le majordome annonce que le repas est servi, la maîtresse de maison prend le bras de son invité le plus important pour le guider jusqu’à la table et l’asseoir à sa droite. Il n’y a pas de plan de table (ça viendra plus tard, à l’époque victorienne) : les invités restants s’assoient librement, mais ils vont naturellement respecter l’ordre social, du plus haut rang au plus petit. Les hommes s’assoient après les dames. Pendant le repas, ils se lèveront chaque fois qu’une dame arrive ou quitte la table.
- Il n’y a pas de service par les domestiques. Ils sont là pour servir les boissons et pour se tenir à disposition, mais pas pour distribuer les assiettes : les convives se servent eux-même dans les multiples plats présentés tous en même temps. Si on veut manger un plat qui se trouve à l’autre bout de la table, on ne demande pas à son voisin mais on fait signe à un domestique d’apporter ladite fricassée.

- Au cours d'un bal, les personnes de plus haut rang dansent le plus proche de l’orchestre pour mieux entendre la musique. Cela commence par le roi/reine, les princes, les ducs etc... Les rangs les plus bas sont les plus éloignés.

- Niveau déplacement, une femme peut conduire une voiture seule, le plus souvent une voiture légère avec un seul cheval ou des poneys. Les hommes font ce qu’ils veulent.
- Une femme monte à cheval uniquement en amazone, jamais à califourchon. On prétend que ça agite les pensées coquines de ces dames, que ça les rend stériles… Bref : être à califourchon, c’est une position d'homme Une amazone, la plupart du temps, chevauche au pas et elle est accompagnée d’un homme pour l’aider à monter et descendre et pour gérer le cheval.

Pour finir, on ne rigole pas avec l’étiquette et la bienséance : trop de faux-pas vous feront perdre des amis tandis que des erreurs graves peuvent carrément vous mettre au ban de la société. Il y avait de vraies conséquences. Malgré tout il faut nuancer, ce sont des règles strictes et en fonction des familles, il y avait parfois du relâchement et une forme de souplesse.






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Hermès De Wellington
Hermès De Wellington
Lady de la moquerie et des esclandres, véritable shakespear au féminin
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Message() / Mar 13 Juil - 1:01
Hermès De Wellington
Le Mariage & le divorce
Pas si simple


Comment ça se présente ?
Au XIXe siècle, les fiancés doivent attendre trois semaines au minimum pour se marier. Cette période n'a pas pour but de créer un doute chez les jeunes gens mais bien de publier les annonces, de préparer la cérémonie ou tout ce qui doit être pris en compte pour un beau mariage. L'annonce est publiée dans le journal ou alors, annoncée le dimanche à l'église car c'est la paroisse qui gère les naissances/mariages/décès. Si on veut avancer le mariage, il est possible de demander une dérogation spéciale à l’archevêque de Canterbury qui est à la tête de l'église Anglicane, en plus du roi et de la reine. La dérogation se paye cher mais quand il y a eu faute entre les deux jeunes gens, elle est parfois nécessaire ! Enfin pour se marier il faut avoir 16 ans minimum. En dessous de la majorité, à savoir 21 ans, il faut l'accord des parents. Il arrivait que, si le prétendant n'était pas assez riche, les parents de la prétendante lui demandent d'attendre un peu afin qu'il amasse un petit pécule pour subvenir aux besoins de son épouse et de ses enfants à venir. Malgré tout, même si les fiancés sont majeurs, le prétendant ira demander à son futur beau père la main de sa fille, c'est une question de respect.

Le mariage est une cérémonie simple et sobre, à l'église. La mariée est en blanc pour montrer sa pureté. C'est le déjeuner qui suit qui est plus luxueux. On invite des amis, on déjeune ensemble. C'est l'occasion de se rassembler. Après le mariage, l'épouse reçoit une copie de son acte de mariage, c'est une garantie car sa position est très fragile. Si le mari disparaît un jour ou refuse de pourvoir à ses besoins, elle pourra grâce à cet acte, saisir la justice et se défendre !

Si on est mineur et que les parents sont opposés au mariage, on peut forcer le destin et fuguer ensemble pour aller se marier quand même. La destination privilégiée pour ça, c’était Gretna Green, une petite ville juste de l’autre côté de la frontière avec l’Écosse. La législation écossaise étant plus souple, elle autorise les mariages dès 16 ans, sans accord parental, sans semaines obligatoires de fiançailles, et en présence de 2 témoins (qui peuvent être n’importe qui, par exemple le sonneur de cloches et l’aubergiste du coin, qu’on aura payés pour ça).

Après le mariage, les mariés ne vivent pas toujours ensemble si ils n'ont pas les moyens. Souvent la jeune fille part vivre dans la famille de son mari, surtout si ce dernier n'a plus de père et qu'il a à charge des frères/sœurs.

Concernant la lune de miel elle est très sobre et se déroule principalement dans les familles. En effet voyager est compliqué ainsi, il est plutôt habituel de faire le tour des membres de la famille qui n'ont pas pu assister au mariage.

Au sujet du divorce il était rare mais il existait et il prenait au moins deux ans. Cependant c'était un acte très cher et très critiqué. En effet le mariage, en plus d'unir deux personnes, était un engagement religieux alors le briser apportait la critique sur les deux personnes voulant se séparer. Malgré tout, pour divorcer il fallait soit s'adresser à un tribunal ecclesiastique pour demander réparation, quand on avait été trompé par exemple. Si le tribunal accepte, on peut demander au parlement et en échange de 600 livres, le divorce est accordé. Habituellement on ne peut se remarier sauf... Quand on paye. Beaucoup. Et c'est rare, là aussi.

Si c'est l'homme qui divorce en ayant prouvé l'infidélité de sa femme, car le contraire serait de la calomnie, il garde tout. Les biens et les enfants. Madame est en tord, elle n'a rien à dire.

Si c'est la femme qui demande le divorce, il faut qu'elle ai une bonne raison. En effet le seul motif pour divorcer, c'est la cruauté. L'adultère est autorisé chez les hommes et les violences aussi. L'homme doit être cruel avec sa femme et cette dernière doit le prouver. Qui plus est, il était rare que la femme demande le divorce car souvent ses plaintes n'étaient pas prises. C'est injuste mais au XIXe siècle, c'est normal.

De ce fait le plus souvent, les mariés se séparaient mais restaient mariés sur le papier. Ils ne vivaient plus ensemble, le mari donnait une pension à sa femme et ils ne se compliquaient pas la vie à demander un divorce hors de prix et très long.


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Hermès De Wellington
Hermès De Wellington
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Message() / Mar 13 Juil - 1:02
Hermès De Wellington
Devenir adulte
les rites de passages


Comment ça marche ?
Au début du XIXe siècle, dans les bonnes familles, la notion d'adolescence n'existe pas encore. On est un enfant et puis un jour on entre dans le monde et on devient un adulte. Mais le temps que cela se produise, les enfants se participent pas aux événements mondains. Ils restent en dehors de repas, des bals et des cérémonies. Ils voient tout de même beaucoup de monde, ils voyagent, rendent visite à des amis de la famille et lorsque c'est leur famille qui accueille une soirée, ils peuvent rester une heure ou deux avant de devoir s'éclipser. C'est au moment où l'on participe à son premier dîner que l'on rentre dans le monde. On devient adulte, c'est un passage très important dans la vie de chaque personne. Il n'y a pas d'âge précis, ce sont les parents qui décident du moment où l'enfant peut être introduit dans le monde. Malgré tout, cette introduction dans le monde se produisait entre 15 et 18 ans habituellement. Elle pouvait être plus tard pour les filles, si ces dernières étaient fragiles ou si la sœur aînée n'était pas encore mariée.

En ce XIXe siècle, les demoiselles de la noblesse font leur entrée dans le monde d’une façon très formelle. En effet il y a un événement en particulier de la saison de Londres qui devient le rendez-vous des demoiselles faisant leur entrée dans le monde : il s’agit du bal de la reine Charlotte (épouse de George III). Créé en 1780 pour fêter son anniversaire, il s’est poursuivi tout au long du XIXème siècle et était tellement glamour qu’il s’est transformé en ce que nous appelons aujourd’hui un bal des Débutantes.

Lors de cet événement, la demoiselle apparaît en compagnie de ses parents ou d'un proche, qui vont alors l’amener devant le monarque. Une profonde révérence, un baisemain, un salut de la part du roi ou un baiser sur le front de la part de la reine, et voilà : la jeune fille peut poursuivre sa soirée, elle est désormais dans le monde. Cependant lors de ce bal très prestigieux, seules les demoiselles nobles étaient présentées à la reine. D’autres filles de familles riches pouvaient utiliser cette occasion pour être elles aussi introduites dans le monde, mais dans ce cas il n’était pas nécessaire pour elles d’aller faire la révérence.

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Message() / Mar 13 Juil - 1:02
Hermès De Wellington
Les duels
En garde !


Le duel est avant tout une affaire d’honneur et notamment d’homme d’honneur. Autrement dit, c’est avant tout un différend qui a lieu entre des aristocrates, des chevaliers, des officiers militaires, en bref : de classes sociales supérieures. Ces hommes-là sont supposés faire preuve de droiture morale, raison pour laquelle ils règlent leurs comptes de façon civilisée, en laissant à chacun la possibilité de se défendre équitablement, et laissant le destin décider de l’issue du combat.

À l’inverse, on ne verra jamais des paysans, des artisans ou des marins se provoquer en duel : les hommes du peuples sont supposés être des rustres, des mal-dégrossis qui vont se taper dessus directement pour régler leurs conflits. Une vision basique et réductrice de la classe dite “populaire”, mais tels sont les codes de cette époque.

Le duel se constitue d'un agresseur et d'un offensé. Insulte, coup, il suffit d'un acte dégradant de l'agresseur pour offenser l'autre et provoquer un duel. L’intérêt est de laver l'honneur de l'offensé. Cependant les duels étaient la suite de quelque chose de grave, on ne se tirait pas dessus à la moindre occasion. C'était également habituel de demander un duel pour laver l'honneur d'un proche, qui plus est le fils peut prendre la place du père si ce dernier, trop vieux, ne peut se défendre lui même. En revanche, si l'agresseur est le père, le fils ne peut pas prendre sa place.

Il faut deux témoins par combattant mais ces témoins ne doivent pas avoir de lien de sang avec l'agresseur et l'offensé. Le duel s'organise à l'écrit et dans les 48h après l'injure, afin de laisser aux deux partis le temps de réfléchir. C'est dans une lettre qu'on décide de l'arme à utiliser, c'est d'ailleurs l'offensé qui peut choisir entre l'épée, le sabre ou le pistolet. C'est également dans cette lettre que l'on décide du lieu où se déroulera la réparation. Un duel peut être annulé jusqu’au dernier moment si l’agresseur fournit des excuses ou une réparation suffisante à l’insulte faite au départ, et que l’offensé s’en estime satisfait. On peut convenir d’un duel « au premier sang » (le premier blessé a perdu) ou bien d’un duel à mort.

Si c'est un duel au pistolet alors, les deux hommes doivent se tourner le dos. Ils s'avancent de dix pas et se retournent pour se tirer dessus. Si c'est à l'épée ils agissent de la même sorte mais ne devront s'éloigner que de trois pas avant de se retourner et de combattre.

Malgré tout il faut savoir que c'est une chose illégale. Si c’est un duel au premier sang, les combattants pourraient se voir accuser de coups et blessures. Si on découvre que le duel était prévu pour être à mort, alors ils encourraient une peine pour tentative d’assassinat. Et si l’un d’eux meurt, alors tout dépend des juges et de leurs clémences. Néanmoins, il est bon de savoir qu’un duel n’est pas sans conséquences judiciaires.






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