OPPOSITION || Les groupuscules et les gangs

Vous trouverez dans cette annexe tous les éléments pour comprendre les ordres "cachés" de la société londonienne. Pro monarchie, ou non, leurs allégeance et leurs codes vous sont expliqués juste ici. Si jamais vous avez des questions et/ou besoin de précision, n'hésitez pas à contacter le staff.

sommaire
- Les chiens de la garde de la reine
- L'Ordre d'Erèbos
- Les gangs de rue

"We are not interested in the possibilities of defeat. They do not exist." Queen Victoria
Telle est la devise des limiers de la reine.

Aussi appelé les chiens de gardes, ce groupuscule secret est là pour veiller sur la famille royale et ses « affaires » d’ordre privé. Ce sont eux qui étouffent les scandales pouvant toucher l’illustre nom et ils n’hésitent pas à tuer si le besoin se fait sentir.
Ils évoluent généralement sous forme d’un petit comité relativement discret, qui n’a en son sein que des êtres  recrutés par la couronne. Mercenaires ? Bandits ? Il arrive que les origines de ceux-ci soit diverses et variés, même si certains visages font partis de la haute noblesse. C’est alors une véritable fierté pour la famille en question, même si cela doit rester de l’ordre du secret.
Toutefois, peu importe d’où ils proviennent, le plus important c’est leurs capacités et la promesse qu’ils font à l’encontre de la reine et de ses parents : ils lui doivent une allégeance totale, quitte à perdre la vie au court d’une mission. Un engagement périlleux, mais qui se compense aisément par le salaire qu’ils touchent. Les chiens de la reine vivent bien, très bien même. Ils doivent le dissimuler parfois pour ne pas attiser la curiosité de leurs proches s’ils viennent d’un milieu trop miséreux, pourtant ils ne sont pas à plaindre. Toutes les portes leurs sont ouvertes, que ce soit au cœur même de Londres ou dans les terres. On les craint… Apparentés à une légende urbaine, les limiers existent bel et bien. Ils luttent dans l’ombre pour leur Majesté.

Ils vivent généralement aux abords du quartier de Westminster afin de ne pas perdre le palais royale de vu. Leurs bureaux, ou du moins ce qui s’y apparente le plus, se trouve au sein d’une ancienne cave située non loin de St James Park.

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« All great changes are preceded by chaos. »

Cette entité encore secrète est une pieuvre dont les nombreux bras commencent à échauffer les esprits de toute la capitale. Nul ne sait comment elle a été fondé et par qui. Cependant, l’Ordre d’Erèbe a su rassembler des disciples, de fervents disciples même, en les ralliant à sa cause. En son sein, on prône un désir de république, d’équité et de libertés. Il n’est plus question de laisser la couronne bien installer sur son trône ! Non ! Les choses doivent changer désormais et c’est pourquoi les disciples ont commencés à se mettre en marche. Poussés par la révolution française, ce groupe croît dans l’ombre. Il se fond dans les masses populaires et éveille parfois les âmes des jeunes nobles dont la tête est remplie de rêves.

Comment recrute-t-on ? Impossible à dire. Un jour on reçoit une lettre sur le pas de sa porte, un minuscule carré de papier sur lequel figure une adresse et c’est tout. Ensuite, personne ne sait ce à quoi est soumis la personne choisie, on ne peut faire que des suppositions. Une épreuve ? Un serment ? Les possibilités sont nombreuses.

Les dirigeants du groupe porte le nom de « cavalier ». On suppose qu’ils sont au nombre de trois, mais cela reste de l’ordre de la théorie. Ils n’ont pas de signe distinctif, ni même un véritable nom pour se différencier. Un véritable casse tête pour les forces de l’ordre, car comment peut-on courir après un unique patronyme pour plusieurs individus bien distincts ?

Leur base se trouve du côté des docks, par-delà le marché au parfum de sang. On la cherche, mais celle-ci semble parfaitement invisible pour ceux non initiés aux mystères de l'Ordre.  

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« The gangs filled a void in society, and the void was the absence of family life. »

Quand on vit plus dans la rue que chez soi, ou même qu’on fuit une famille violente ou étouffante, les gangs de malfrats sont un véritable refuge pour les âmes en peine. On y trouve enfant, adultes, vieillards et prostitués parfois, un véritable camaïeu de misère qui se réunit pour tenter de se rapprocher de la gloire ou d'un semblant de richesse.
Il n’y a pas de discrimination au sein de ces groupes : tout le monde est le bienvenu, peu importe le besoin. On ne juge pas, on ne critique pas, non, on se soutient un point c’est tout ! L'important est d'écouter son "boss", celui qui tient les rennes du business.
Tout est une question de jeux, d’argents et d’arnaques, mais pour cela il faut être habile. Quand les têtes pensantes sont occupées à concevoir des plans, ce sont les petits mains comme les gros bras qui triment et agissent. Chaque gang est pensé et agencé dans ce but. Tout est une question de complicité, d'allier les compétences des uns et des autres. Une entente entre les membres d'un même groupe qui se lie au fil des larcins, même s'il reste parfois quelques désaccords.

Il n’est pas rare que ces groupes organisent également des combats de box illégaux ou visitent des bordels. Pas de moral ? Si, mais celle des petits gens. L’important est de vivre, de survivre notamment. La plus part des personnes ayant fait ce choix de vie n'ont eu aucune chance dans leur existence. Ils sont donc animés par un besoin de richesse et de reconnaissance qui glace parfois les sens.

On dénombre plusieurs groupes de ce type et quand un se meurt, un autre surgit automatiquement de terre.

Si vous désirez créer votre propre gang, n'hésitez pas à venir trouver le staff pour en discuter. Toute demande sera étudié dans les plus brefs délais pour savoir si cela est faisable ou non.